Demain : soutenance.
Donc, très logiquement nuit blanche, bien sûr puisque je suis encore à la ramasse totale en ce qui concerne ma préparation et ce p... d'additif machin.
Joie. Je me remets à peine d'une crevarde XXL qui a réussi à mettre KO ma constitution de catcheuse-déménageuse-nageuse-est-allemande-qui-a pas-nagé-depuis-un-moment-alors-qui-se-tape-des-cuisses-de-pintade (j'exagère) (mais à peine), et voilà que je remets à l'épreuve mais petits anti-corps en m'imposant une fatigue peut-être inutile puisque j'ai essayé de savoir dans quelle salle je passais devant le jury demain et que personne n'en sais rien et qu'en plus j'ai appris que mon directeur avait de gros soucis perso et que, comme c'est lui qui doit s'occuper de l'organisation, si ça se trouve, il a rien prévu parce qu'il a autre chose à penser et que je doute même si c'est bien demain ma soutenance...
Je défie quiconque d'avoir saisi le sens de cette phrase mais bon, j'me comprends et c'est l'essentiel.

Bref, le cauchemar continue, mais là je commence à m'habituer.
Gros poutoux et dormez-bien, puisque vous le pouvez.
Votre dévouée,
Tsu

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