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6 choses complètement insignifiantes

 Mon blog mort s'est fait taguer, comme on dit. Le responsable est Vinzzz, dit "le réssuciteur de blog" qui me demande de faire part à la blogosphère en haleine (qui se rassemble certainement tous les jours ici en attendant le miracle de la résurrection) de 6 choses sans importance me concernant.

1. Mettre le lien du blog qui nous a tagué
2. Indiquer le réglement du jeu de tague
3. Mentionner six choses sans importance sur soi-même
4. Taguer six personnes à la fin du billet en mettant les liens vers leurs blogs respectifs
5. Avertir sur leurs blogs les personnes taguées.

1) J'utilise un téléphone rose.

2) Quand j'étais petite, j'ai demandé un autographe à Jane Birkin à une expo sur Aménophis. (Elle a été super gentille).

3) A 19 ans, j'ai passé tout un été en jupe noire et chemisier à manches ballon à vendre des cornets de glaces (pour une marque au nom difficile à orthographier) et le manager ne m'avait pas mise à ce poste par hasard (ceux qui me connaissent savent pourquoi).

4) A 10 ans, je me suis cassée le scaphoïde (minuscule os du poignet, fracture dite "du motard", 2 mois de plâtre) et ma mère trouvait que le nom de cet os faisait très "insulte du capitaine Haddock". Quand on a retiré mon plâtre, j'ai dû porter des manches longues en pleine chaleur car mon bras était tout banc et maigre, les poils avaient poussé et les enfants de ma classe se moquaient de moi. 

5) Je bois moult infusions au fenouil par jour.

6) Quand je suis dans mes pensées, je gratouille quelque chose avec le doigt (il paraît).

Je ne sais qui taguer, peut-être ma cousine Mary si elle n'a pas déjà répondu?

Pilote

Pffff... encore des vacances d'été chez mamie. Si je calcule, depuis ma naissance et jusqu'à aujourd'hui (j'ai presque quatorze ans), à raison de trois fois par an minimum, ça fait quarante-deux fois qu'on se tape neuf heures de route en évitant soigneusement les autoroutes, avec tout le bestiaire dans la voiture (les chiens qui halètent, les chats qui flippent dans leur cage), les taureaux à Narbonne et Béziers, les "chaaaa lala la lala chala lala la, Interville 90!!", les "c'est quoi comme département, 11?" et "on s'arrête au Mac Draïve?"

Quarante-deux fois qu'on arrive dans l'allée avec les platanes au bout, la soupe à l'arrivée à trois heures du matin, l'escalier qui fait peur avec la petite ampoule deux watts pour arriver jusqu'à ma chambre.

La porte en haut de l'escalier. Une porte toujours fermée. Grise. Avec une grosse serrure. Par laquelle s'écoulent parfois de faibles plaintes les jours de mistral. 

Toujours eu un petit frisson en passant devant cette porte et celle de la chambre de mes grands parents: une pièce toujours sombre, sortie d'une autre époque avec son papier peint rayé, la coiffeuse d'un autre âge, les portraits ovales en noir et blanc.

Heureusement ma chambre est claire, elle a été rénovée peu après ma naissance. Il y a juste un vieux miroir plein de grains de beauté qui rappelle le reste de la maison, un mas provencal d'une centaine d'année.

Depuis qu'ils ont muré le passage qui nous permettait de nous voir, avec nos petits voisins Sabba et Jamel, on s'ennuie ferme ma soeur et moi. Il n'y a plus de balançoire sur le portique, le potager a diminué de moitié depuis que la mairie a racheté le terrain pour construire la rocade, les poules du poulailler sont mortes et enterrées depuis un bail, sans parler des moutons (la preuve de nos existences simultanées réside pour moi uniquement sur quelques photos où je donne le biberon à un agneau aussi âgé que moi), on n'a même pas le droit d'aller dans la grange parce qu'il y a des rats et des vieux rateaux rouillés...

- Papa, c'est quoi cette porte grise en haut de l'escalier, en fait?

- C'est le grenier.

- On peut y aller?

- Oui, faudrait retrouver la clé.

Devant la porte, mon père fait tourner une grosse clé oxydée. Les gonds gémissent: quelques marches poussiéreuses grimpent vers une pièce immense juste sous la toiture. Il y fait chaud. De minces rayons de soleil se faufilent dans les ouvertures qui ressemblent à des meurtrières. Des coffres anciens, des tas de livres, un berceau, de vieux meubles fantômatiques recouverts de draps... C'est le Grenier. Comme un décor de film... en mieux parce que c'est vrai! Le mistral contribue à l'ambiance cinématographique avec ses ululements d'âmes damnées. 

Dans un coin sont regroupés les souvenirs d'enfance de mon père. Ses jouets en bois, ses voitures en plastique et en fer blanc. Et ses livres. Un coffre renferme de vieux magazines jaunis. Le journal de Mickey, tiens, ça existait déjà à son époque. Pilote. Connais pas. Ca sonne comme un journal pour garçon. Je fouille un peu partout, je tombe sur des souvenirs de grands parents et d'ancêtres inconnus, des chapeaux, des coupons de tissus, des combinaisons, des objets dont l'usage ne m'aparaît pas clairement...

 Je redescends quelques souvenirs pour les montrer à ma mère, j'ai une pile de Pilote, ça me fera de la lecture.

Le soir venu, je suis dans mon petit lit, avec mes Pilote et je lis. Je lis. Je lis. J'en lis toute la nuit ou presque.

Mon père a gardé toute la collection de cet hebdomadaire de 1963 à 1971. Chaque vacances je lis Pilote. Gotlib, Uderzo, Charlier, Greg, Tabary, Chakir, puis Alexis, Brétecher, Reiser, Mandryka, Lecomte, Solé, Loro, Druillet, Fred. 

"Le journal d'Astérix et d'Obélix" qui devient peu à peu, au fur et à mesure que mon père et moi grandissons, "le journal qui s'amuse à réfléchir". Un regard sur une époque que j'aurais aimé connaître. Une époque qui promeut des portes-plumes et des vélos solex dans les pages pub kitschs où Christine et Jean Pierre, pures icônes yéyé avec couettes et costume en flanelle grise, représentent la jeunesse des années soixante. Une époque, plus tard, qui encense le mobilier de salon en skaï et polyuréthane avec des coussins marron et orange en acrylique et qui s'amuse effectivement à réféchir et à tout remettre en question.

Il me reste encore quelques piles de Pilote à lire.

Merci Mr Goscinny!

eh oui...

Je savais que je tiendrai pas longtemps...

Après l'inénarrable Fantômette version façon (chez mon ami et néanmoins ami Vinzzz et sa camarade et néanmoins camarade Katja) je vous présente la nouvelle collection des Oui-Oui de notre enfance débilitante version grave.

Paris Paris combien?

Aujourd'hui, pour la première fois on me propose de participer au dépouillement d'un scrutin à Paris. J'espère que je vais pas me tromper en comptant.

Suivez le bon exemple!

*****

Je peux pas résister à citer le célèbre discours en hommage à Paris Hilton, même si je suis un peu en retard  vu qu'elle est retournée en taule. "Paris ! Paris outragée ! Paris brisée ! Paris martyrisée ! mais Paris libérée ! "

*****

Vu sur la devanture d'un restaurant

Faut filer  grillé

*

Et puis, je relaye l'info suivante

http://demesuredupossible.joueb.com/news/manif-de-droite-le-20-mai-a-paris

Chant du cygne

Je crois que le dernier article était le chant du cygne. Je ne sais pas encore si je reposterai bientôt. A priori, non, mais quelque chose me dit que ce n'est qu'un au revoir. Alors au revoir et merci à ceux qui sont passés ici!

Oysters Savers

...*~^°Un conte de nouel°^~*... (I'm afraid of no oyst)

Il était une fois, dans une forêt très très loin (de tout), une famille qui fêtait noël dans son garage (transformé en salle à manger). Il y avait le papa, la maman, les 2 petites filles de 26 et 23 ans, les 5 chats et les 2 chiens et tout ce petit monde s'affairait autour du sapin, déposant ici un paquet joliment emballé ou là un oiseau fraîchement occis...
Tout n'était que Glorias et allegresse lorsque sonna l'heure du Réveillon. Afin de respecter les inclinations de chacun, les menus étaient différents en fonction des convives : les chiens et chats avaient leur pâtée de réveilllon (et quelques crevettes pour les amateurs, c'est noël quand même), le papa et la cadette dégustaient un magret sur lit de fagottins de haricots verts tandis que la maman et l'aînée des petites avaient commandé à l'étal du poissonnier du superhu du village, un magnifique plateau de fruits de mer.
Il était châtoyant de couleurs et de variétés: des langoustines, des crevettes, des crabes, des bigorneaux, des clams et des huîtres tous plus rayonnants de fraîcheur les uns que les autres.
Le papa et la cadette, peu friands de mollusques, regardaient ce banquet avec pitié (pour ces pauvres bêtes) mais indulgence (pour les deux gloutonnes) lorsque l'aînée des petites poussa un cri de frayeur.
L'un des clams venait spontanément de s'ouvrir et tendait un tentacule suppliant dans un geste de merci désespéré... "Non ne me mangez pas vivant!", semblait-il dire, la coquille embuée de larmes.
La famille, émue, prit alors, à la quasi-unanimité, une décision digne de l'Esprit de Noël.
Le clam, ses congénères et les huîtres rescapées furent immédiatement rassemblés dans un sac que la famille emporta dans la voiture et, malgré les intempéries, ils roulèrent et roulèrent et roulèrent jusqu'à l'océan (qui se trouvait à 10 km).
Là, les mollusques grâciés furent précipités du haut d'un pont par la maman dans un saut de l'ange jusqu'à leur mer nourricière, sous les applaudissements du papa et les flashs de la cadette qui voulait immortaliser ce moment. Sur la photo, on aperçut même le clam faire un salut de reconnaissance du tentacule : "Soyez béniiiiiiii'ts (yeah)!!!!!"
C'est ainsi que la famille rentra joyeusement dans son garage pour faire un sort à la bûche qui n'en réchappa point (elle).

Fin (heureuse ^^)
 
(quand je vais raconter ça à mon psy....)

Cajou la Gouaille

Strip de . Cajou la Gouaille, c'est son chat sauvé de ses mains d'un destin tragique (il aurait pu s'appeler Mike Brant). Constatez qu'il se porte on ne peut mieux maintenant (à part quelques crises de possessions par un démon, mais on va appeler le père Karras bientôt) : on clique pour voir mieux!








Fais tourner!

Miss Joum m'a refilé le bébé!

1- allez dans vos archives
2- retrouvez la 23ème note
3- retrouvez la 5ème phrase
4- publiez la phrase en question ainsi que les 5 instructions
5- obligez  (ou demandez gentiment) à 5 autres blogueurs
à en faire autant en leur promettant une photo de vous nu(e) (ça peut les dissuader), Calilou, Castor, Lili, Vinzzz, Khachoe


"Même une fois j'avais pris du lierre dans le jardin de mes parents, et faut le faire exprès pour faire crever du lierre quand même."

Mouais, ressorti du contexte...

Patchwork de moi

Machin trouvé dans "Non dairy Diary", (que j'ai mise dans mes liens, tellement c'est joli!) les "Montage a google" ça donne un espèce de patchwork de votre blog (ou d'autre chose):



(C'est un peu le box, chez moi)

Passage aux actes

A little less conversation, a little more action, please

Wouhouhou!

Lire la suite...

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