Ode de Vinzzz pour moa!!
MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI VINZZZ!!!
--> (Musique : Serge Gainsbourg - Le poinçonneur des Lilas)
La presse people, j’la lis pas
La vie des gens ne me regarde pas
Je n’me mèle pas d’leurs affaires
Je suis pépère
J’ai pas envie d’manger des restes
Bouffer des ragots indigestes
Mais sur un blog y a écrit
Des choses qui m’touchent, des choses que j’trouve jolies
Des choses belles, un peu suaves
Mais rien de grave
Car la miss, elle sait s’amuser
Y a plein d’humour dans ses billets
C’est Ptitetsu, c’est Ptitetsu, mademoiselle Ptitetsu
C’est Ptitetsu, c’est Ptitetsu, mademoiselle Ptitetsu
Elle a trop la classe
C’est pas une bécasse
C’est Ptitetsu, c’est Ptitetsu, mademoiselle Ptitetsu
C’est Ptitetsu, c’est Ptitetsu, mademoiselle Ptitetsu
C’est Petitetsu, C’est Petitetsu
C’est Petitetsu, C’est Petitetsu
La Miss habite un pays
Que l’on connaît sous l’nom de Mourmanie
C’est une étrange planète
Qu’est dans sa tête
Et jamais on ne s’y ennuie
Car toujours l’humour elle manie.
La connaître est une chance,
Un vrai bonheur, une douce évidence.
Elle fait cadeau de ses gags,
Toujours elle blague
Des fois, elle nage comme un brochet
Dans des piscines d’hypermarché
C’est Ptitetsu, c’est Ptitetsu, c’est vraiment Ptitetsu
C’est Ptitetsu, c’est Ptitetsu, c’est vraiment Ptitetsu
Si parfois tu bailles
Qu’ton moral se taille
Ne rest’ pas dans ton trou, vas donc chez Ptitetsu
Chez Petitetsu, chez Petitetsu, chez Petitetsu
Si tu t’appelles Chabat
Ou bien Lauby ou même Farrugia
Chez elle, y a plein de phrases chocs
des trucs loufoques
Tu seras bien à ton affaire
Car cette fille-là, elle est d’enfer.
Un jour viendra j'en suis sûr
Le monde connaîtra sa vraie nature :
On sera toujours en août
Et pas de doute
Le travail sera aboli
Et on restera tous au lit
Même Ptitetsu, même Ptitetsu, même notre Ptitetsu
Même Ptitetsu, même Ptitetsu, et surtout Ptitetsu
Et là ca sera dingue
Tous les jours la bringue
Le travail, on s’en fout, on connaît Ptitetsu
Le travail on s’en fout, on connaît Ptitetsu
Notre Petitetsu
Notre Petitetsu, notre Petitetsu, notre Petitetsu
(ad lib)
La vie des gens ne me regarde pas
Je n’me mèle pas d’leurs affaires
Je suis pépère
J’ai pas envie d’manger des restes
Bouffer des ragots indigestes
Mais sur un blog y a écrit
Des choses qui m’touchent, des choses que j’trouve jolies
Des choses belles, un peu suaves
Mais rien de grave
Car la miss, elle sait s’amuser
Y a plein d’humour dans ses billets
C’est Ptitetsu, c’est Ptitetsu, mademoiselle Ptitetsu
C’est Ptitetsu, c’est Ptitetsu, mademoiselle Ptitetsu
Elle a trop la classe
C’est pas une bécasse
C’est Ptitetsu, c’est Ptitetsu, mademoiselle Ptitetsu
C’est Ptitetsu, c’est Ptitetsu, mademoiselle Ptitetsu
C’est Petitetsu, C’est Petitetsu
C’est Petitetsu, C’est Petitetsu
La Miss habite un pays
Que l’on connaît sous l’nom de Mourmanie
C’est une étrange planète
Qu’est dans sa tête
Et jamais on ne s’y ennuie
Car toujours l’humour elle manie.
La connaître est une chance,
Un vrai bonheur, une douce évidence.
Elle fait cadeau de ses gags,
Toujours elle blague
Des fois, elle nage comme un brochet
Dans des piscines d’hypermarché
C’est Ptitetsu, c’est Ptitetsu, c’est vraiment Ptitetsu
C’est Ptitetsu, c’est Ptitetsu, c’est vraiment Ptitetsu
Si parfois tu bailles
Qu’ton moral se taille
Ne rest’ pas dans ton trou, vas donc chez Ptitetsu
Chez Petitetsu, chez Petitetsu, chez Petitetsu
Si tu t’appelles Chabat
Ou bien Lauby ou même Farrugia
Chez elle, y a plein de phrases chocs
des trucs loufoques
Tu seras bien à ton affaire
Car cette fille-là, elle est d’enfer.
Un jour viendra j'en suis sûr
Le monde connaîtra sa vraie nature :
On sera toujours en août
Et pas de doute
Le travail sera aboli
Et on restera tous au lit
Même Ptitetsu, même Ptitetsu, même notre Ptitetsu
Même Ptitetsu, même Ptitetsu, et surtout Ptitetsu
Et là ca sera dingue
Tous les jours la bringue
Le travail, on s’en fout, on connaît Ptitetsu
Le travail on s’en fout, on connaît Ptitetsu
Notre Petitetsu
Notre Petitetsu, notre Petitetsu, notre Petitetsu
(ad lib)
Par ptitetsu | Avant | Mardi 29 Juin 2004, 12:07 | Après | Les Odes | aucun commentaire